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Vous trouverez ici des recettes facilement réalisables,toutes testées, approuvées et photographiées !  

Bonus: Fruits & légumes de saison, vitamines & minéraux...

 

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12 avril 2006 3 12 /04 /avril /2006 09:46

En voilà, une bonne nouvelle!:0004:

 Le Parisien indique en effet qu’« un essai thérapeutique va être lancé dans un grand hôpital londonien » pour déterminer l’impact du chocolat noir sur les maladies cardio-vasculaires.
Le journal explique qu’« après avoir constaté lors d’expérimentations en laboratoire les effets bénéfiques du chocolat noir, le Pr Roger Corder, responsable des expériences thérapeutiques au Barts Hospital, va les tester sur 40 cobayes humains souffrant de maladies cardio-vasculaires ».
Le Parisien précise que « le Pr Corder pourrait, après cet essai de 12 mois, «recommander la consommation de 25 g par jour de bon chocolat», c’est-à-dire contenant 85 % de cacao ».


Le quotidien note que « selon ce chercheur, manger du chocolat noir dilate les vaisseaux sanguins, empêche la formation de caillots et prévient les attaques cardiaques grâce au «flavanol», une molécule qui agit comme l’aspirine ».
Le Parisien note de plus que « les essais in vitro ont montré que cette molécule augmente l’irrigation sanguine du cerveau et pourrait donc aussi être bénéfique pour traiter la démence et les attaques cérébrales ».
(source:mediscoop, revue de presse quotidienne de l'actualté médicale et de la santé)

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10 avril 2006 1 10 /04 /avril /2006 19:41



Ce sont des substances chimiques naturelles ou artificielles incorporées volontairement au cours de la fabrication d'un produit. Ils empêchent les proliférations microbiennes et les oxydations, ou elles préservent les qualités organoleptiques, ou encore améliorent l'aspect des aliments, sans nuire à leurs qualités nutritionnelles.



La CEE a fixé la limite de concentration massique maximale des additifs à un pour cent, en ce qui concerne le domaine alimentaire : ceux-ci ont un but :

Soit technologique : conservateurs, anti-oxydants, anti-désséchants?

Soit organoleptique : arômes, édulcorants, colorants, émulsifiant et agents de texture?

Soit nutritionnnel : vitamines, sels minéraux, acides aminés, fibres?

La catégorie d'appartenance des additifs, leur nom ou symbole CEE (E---) doivent être indiqués sur les aliments préemballés. Certains additifs ne sont pas autorisés en France, voire en Europe.




1 : Colorants : Ils servent à donner une couleur dite naturelle aux aliments afin de rendre leur aspect attractif ; certains peuvent déclencher des réactions allergiques ou d'intolérance. Ils concernent la série des E1--.

2. Conservateurs : Ce sont des substances qui empêchent les aliments de moisir et de fermenter. Ils empêchent les micro-organismes présents dans les aliments de se développer. Il s'agit de la série des E2--.

3. Antioxydants ou Antioxygènes : Ils empêchent l'oxydation (notamment par l'air) des aliments et toutes les modifications organiques qui découlent de cette oxydation. Le dioxygène de l'air, par un processuus mettant en jeu les "radicaux libres" agit sur les huiles et graisses, et conduit au rancissement du produit. Les antioxygènes sont donc des "anti-radicaux libres". Il s'agit des la série des E3--.

4. Arômes : Ils constituent une très infime partie des aliments et boissons. Ils sont responsables de l'ensemble des sensations gustatives et olfactives qu'ils procurent. Ils peuvent être sucrés (fruit, miel, caramel?), salés (épices, viandes, poissons?), ou ce sont des arômes divers (alcool, acides?). Ils peuvent être naturels, issus de matières végétale ou animales (huiles essentielles, résines?), ou obtenus par un traitement biologique (fermentation?), ou encore obtenus par synthèse. Il existe plus de 10 000 molécules d'arômes répertoriées.

5. Émulsifiants, Stabilisants, Épaississants et Gélifiants : Ce sont des agents de texture qui donnent le volume, la tenue ou le moelleux aux produits. D'une manière générale, ils sont moins allergisants que les colorants, conservateurs ou antioxydants.

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9 avril 2006 7 09 /04 /avril /2006 19:40

Le régime Atkins fait encore des victimes !


Dans son éditorial, le Lancet, l'une des plus grandes revues médicales internationales, rapporte le cas d'une femme hospitalisée en urgence à la suite d'un régime Atkins. C'est l'occasion de rappeler que les régimes trop déséquilibrés sont potentiellement dangereux, comme le régime Atkins qui élimine de l'alimentation les sucres.


Régime Atkins

Vomissements, nausées, perte de l'appétit, douleurs à l'estomac, rien n'allait plus chez cette femme de 40 ans, obèse, qui suivait depuis un mois un régime Atkins au cours duquel elle ne mangeait que de la viande, des salades et du fromage. Elle prenait en complément des vitamines, des oligoéléments et des acides gras oméga 3, ce qui n'a rien changé : quand un régime est trop déséquilibré, les compléments alimentaires ne peuvent y suppléer.


Un régime qui finit au bord du coma

Le bilan effectué en urgence montre une cétonurie des urines (élimination excessive de corps cétoniques, composés acides) et une acidité du sang, ce qui confirme que cette femme allait vers un coma, tels ceux que l'on observe chez les gens faisant de grands jeûnes ou chez les diabétiques privés d'insuline.

Faute de sucre, l'organisme cherche à transformer ses propres graisses en sucre, ce qui, quand cette réaction est trop massive, entraîne la production de corps cétoniques, source d'une grande acidité de l'organisme.

Vomissements, douleur à l'estomac, malaise, puis coma sont au rendez-vous… Les autres signes sont l'accélération de la respiration (pour éliminer par voie respiratoire les corps cétoniques) et une augmentation des globules blancs. Dans les cas extrêmes, on voit une déshydratation et une chute des électrolytes dans le sang (sodium surtout).

Une perfusion de dextrose (du sucre !) et de bicarbonate de sodium, a permis de tirer d'affaire cette patiente qui en sera quitte pour une grosse frayeur ! Reste que son exemple est important à connaître pour éviter de tomber dans le même piège.


Maladie cardiovasculaire, Alzheimer et cancer au rendez-vous de ce régime

Rappelons que le régime Atkins a d'autres effets indésirables comme d'augmenter le taux de cholestérol dans le sang et donc de favoriser les maladies cardiovasculaires comme les infarctus et les attaques cérébrales. Il est probable qu'il contribue également à la maladie d'Alzheimer (dont le cholestérol est le facteur de risque N°1 avec l'hypertension) et à certains cancers. Ce régime est donc vraiment à éviter !



Toujours viser une alimentation équilibrée

Il est important de maigrir quand nous en avons envie et quand c'est nécessaire, mais il faut toujours garder en tête que notre corps a besoin d'une alimentation naturellement équilibrée et que, faute de s'en souvenir, il nous le rappellera de manière dramatique. Alors plutôt que de vous lancer dans n'importe quel régime, on ne saura trop vous conseiller de consulter un spécialiste, soit un médecin nutritionniste, soit un diététicien.

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5 avril 2006 3 05 /04 /avril /2006 18:59

 

"Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine". Déclaration universelle des droits de l'Homme, article 23.

 

 

Que se passe-t-il sur notre planète ?


" 56 % de la population mondiale vit actuellement dans la pauvreté : 1,2 milliard de personnes vivent avec moins de 1.05 euros par jour et 2,8 milliards d'autres vivent avec 2.1 euros par jour ". Tels sont les chiffres alarmants récemment publiés par la Banque Mondiale dans son enquête menée sur une période de 10 ans.

La mondialisation financière comme celle de la production ont accru les déséquilibres tant entre pays riches et pauvres qu'à l'intérieur des pays mêmes : le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) le rappelait dans son rapport de l'année dernière : les 1,3 milliard d'habitants des pays les plus pauvres sont 86 fois moins riches que les Nord Américains. Ce rapport était de 22 il y a 20 ans.

Alors que les débats sur la mondialisation occupent de plus en plus de place dans l'actualité française, les petits producteurs et artisans du Sud restent soumis à une pression sauvage des lois du commerce.

Les matières premières, qui font vivre une grande partie des salariés et producteurs du Sud, voient leur cour, sur le marché mondial, s'affaiblir d'année en année. Par exemple : le cours du café a atteint 0.55 euro la livre en octobre 2001 alors qu'il était de 1.69 euro en mars 1998. Pour les producteurs la pression des intermédiaires (multinationales, commanditaires, groupes industriels) est de plus en plus forte : les prix et les conditions d'achat sont imposés. Pression d'autant plus écrasante pour les petits producteurs qui n'ont pas d'accès direct au marché mondial.

Dans ces conditions, un petit paysan ou artisan ne peut vivre dignement de son travail. Il est couramment obligé de travailler dans des conditions comparables à l'esclavage, faire travailler ses enfants, et renier son environnement social, économique, écologique et culturel.


Et alors, que faire ?

 
Il existe une autre manière de faire du commerce, une autre manière de consommer. Depuis quelques années, le commerce équitable s'impose comme étant une alternative efficace pour réduire les inégalités et redonner à l'homme sa place dans les échanges commerciaux internationaux.

Visant à établir un rapport d'échanges satisfaisants pour tous - du producteur au consommateur - le commerce équitable est fondé sur les principes suivants :

*assurer une juste rémunération du travail des producteurs et artisans les plus défavorisés, leur permettant de satisfaire leurs besoins élémentaires : santé, éducation, logement, protection sociale·
*garantir le respect des droits fondamentaux des personnes (refus de l'exploitation des enfants, de l'esclavage... )
*instaurer des relations durables entre partenaires économiques
*favoriser la préservation de l'environnement
*proposer aux consommateurs des produits de qualité.

 


Quelle est la valeur de nos achats ?


Octobre 2000 : 9 % des français ont entendu parlé du commerce équitable, en octobre 2002, ils étaient 32% (sondages Ipsos). Ce bond spectaculaire s'explique par un relais soutenu des media, un travail permanent des acteurs du commerce équitable et d'une certaine réflexion sur les valeurs citoyennes en France. Les Français prennent conscience de la nécessité de payer un prix juste pour rétablir l'équilibre entre le Nord et le Sud.

Le développement du Commerce Equitable se traduit par une augmentation du nombre de boutiques ainsi que des volumes de produits vendus en grande surface. En France, la quantité de boutiques spécialisées et la consommation de café labellisé Max Havelaar ont doublé en 5 ans pour atteindre aujourd'hui plus de 120 boutiques et 1000 tonnes de café. Ces variations sont impressionnantes mais les chiffres restent encore inférieurs comparés à ceux de nos voisins européens.

Le consommateur français est donc de plus en plus sensible aux problèmes de l'environnement et aux conditions de production dans les pays en développement et choisit de plus en plus cette alternative au commerce mondial dit "traditionnel". Les produits se diversifient et sont de plus en plus accessibles, au plus grand plaisir de ces nouveaux consomm'acteurs.

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1 avril 2006 6 01 /04 /avril /2006 00:00




Mais au fait, d'où vient ce facétieux poisson d'avril ? 

 


Tout a commencé, paraît-il, en 1564 lorque le roi Charles IX décida de modifier la date du changement d'année...

Jour saint pour tous les blagueurs, le 1er avril est traditionnellement synonyme de farce. Les professeurs sont souvent les victimes d'élèves ingénieux, les médias diffusent allègrement des canulars et tout le monde y va de son piège. Petit retour sur la plus rigolote des traditions.

Si l'origine du poisson d'avril est controversée, l'hypothèse la plus courante le fait naître au 16ème siècle. En 1564, le roi Charles IX a décidé que l'année ne commencerait plus le 1er avril mais le 1er janvier. Un changement a également décalé les échanges de cadeaux et d'étrennes qui marquaient le passage à la nouvelle année. Pour semer le doute au sujet de la date réelle du nouvel an, certains ont persisté à offrir des présents en avril. Avec le temps, les petits cadeaux d'avril se sont transformés en cadeaux pour rire, en blagues, puis en stratagèmes pour piéger les autres.

Si les farces sont désormais connues sous le nom de "poisson d'avril", cela remonte là encore à ce cher 16ème siècle. Les cadeaux que l'on s'offrait en avril étaient souvent alimentaires. Cette date étant à la fin du carême, période durant laquelle la consommation de viande est interdite chez les chrétiens, le poisson était le présent le plus fréquent. Lorsque les blagues se développèrent, l'un des pièges les plus courants était l'offrande de faux poissons.

La tradition de la blague du 1er avril, au départ occidentale, s'est peu à peu diffusée. Elle s'exprime de différentes manières en fonction des pays. En Angleterre, par exemple, le 1er avril est l' "April's fool day". Les farces ne se font que le matin et si vous êtes piégé, vous êtes "une nouille". En Ecosse, soyez deux fois plus vigilant qu'en France car les farceurs peuvent également sévir le 2 avril. Au Mexique, l'unique tour consiste à subtiliser le bien d'un ami. La victime aura en échange des bonbons et un petit mot lui indiquant qu'il s'est fait avoir. Il existe même une version indienne du poisson d'avril : elle a lieu le 31 mars et se nomme la fête d'"Huli ".

Bon 1er avril à tous !

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23 mars 2006 4 23 /03 /mars /2006 17:36

 
Une baisse de forme ? Allez, avalez quelques comprimés de vitamines, cela ne peut que vous faire du bien ! Du bien, vraiment ?

Vous souffrez de fatigue passagère. Aussitôt, vous vous précipitez sur des compléments alimentaires, persuadé qu'une cure de vitamines vous fera du bien... ou du moins, pas de mal. Avec une cure temporaire et en quantité modérée, sans doute.

Les fruits : des mines de vitamines.
Photo : Jacquy Lenoir

13 molécules indispensables
En effet, les vitamines sont des substances indispensables au fonctionnement de l'organisme. Elles n'apportent pas d'énergie mais interviennent dans de nombreux processus vitaux. Dans la plupart des cas, notre organisme est incapable de les synthétiser. Voilà pourquoi elles doivent être apportées par l'alimentation.

Des vitamines, il en existe 13. Parmi elles, les liposolubles A, D, E et K peuvent être stockées. Les hydrosolubles C, B1, B2, PP, B5, B6, B8, B9, B12, elles, ne sont pas mises en réserve et sont excrétées dans les urines quand leur apport est excédentaire.

Une seule vous manque... et la santé en prend un coup
Quand on manque de vitamines, le corps le fait savoir : baisse de vision et retard de croissance (vitamine A), fragilisation des os (vitamine D), mauvaise coagulation sanguine (vitamine K), troubles nerveux (vitamine E), anémie (vitamines B6 et B12), fatigue… Toutes les conséquences sont encore mal connues, et certains scientifiques pensent que ces carences favorisent également la survenue de certaines maladies (cancers, maladies cardio-vasculaires).

Cela dit, dans les pays industrialisés, à part chez les personnes âgées, malades ou dénutries, les carences importantes en vitamines sont plutôt rares. L'étude Su.Vi.Max, de 1994 à 2002, a montré certaines déficiences alimentaires par rapport aux apports nutritionnels conseillés, notamment en vitamines A, C, D, E B1 et B6. Mais rien d'inquiétant : il est tout à fait possible d'avoir des apports alimentaires inférieurs aux normes sans être pour autant carencé, les recommandations n'étant que des moyennes.

Comment éviter ces carences (très modérées) ? En mangeant équilibré : viande, poisson, huiles végétales, produits laitiers, céréales... et consommer au minimum cinq fruits et légumes par jour. Ce qui représente par exemple : 1 orange, 100 g de carottes râpées, 100 g de chou, une pomme et 120 g de brocolis.

A trop en consommer, on est malade aussi
Pourquoi ne pas les prendre en cachets, ces vitamines ? Pourquoi pas, mais modérément. Si un apport équilibré de vitamine est un garant de bonne santé, un excès (une hypervitaminose) produit des effets néfastes : production de radicaux libres accélérant le vieillissement, troubles hépatiques (vitamines A et K), nerveux (vitamine B6), acné (vitamine B12)...

Attention donc aux comprimés vitaminiques ! Toute ingestion à des doses très élevées peut s'avérer toxique. Soyez surtout vigilant en ce qui concerne les vitamines liposolubles : elles ont tendance à s'accumuler dans le foie et dans de nombreuses glandes. Le risque d'excès avec les vitamines hydrosoluble est moins important car le surplus est rapidement éliminé dans les urines.

Les cures de vitamines, donc, pourquoi pas. Mais si vous souffrez de fatigue passagère, revoyez peut-être avant tout votre hygiène de vie : dormez suffisamment, évitez la consommation excessive de café, d'alcool et de thé, faites du sport… et mangez équilibré bien sûr !

 

BESOINS QUOTIDIENS EN VITAMINES, pour un adulte
Vitamine A 1 mg 100 g de carottes
Vitamine D 10 µg 5 g d'huile de foie de morue
Vitamine E 12 mg 100 g de soja frais
Vitamine K 45 µg 50 g de haricots verts
Vitamine C 100 mg 50 g de cassis
Vitamine B1 1,5 mg 10 g de levure de bière
Vitamine B2 1,6 mg 300 g de champignons crus
Vitamine B3 ou PP 18 mg 100 g de cacahuètes
Vitamine B5 10 mg 170 g de foie de boeuf
Vitamine B6 2 mg 2,5 bananes
Vitamine B8 ou H 200 µg 50 g de levure sèche
Vitamine B9 400 µg 100 g de foie de volaille
Vitamine B 12 3 µg 100 mL de lait de soja
 
 Source: Sophie Fleury, L'Internaute

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19 mars 2006 7 19 /03 /mars /2006 00:49

 

 On estime que l'alimentation est responsable de plus du tiers des cancers, démontrant l'importance d'une alimentation saine pour réduire l’incidence de même que la progression du cancer.

 De nombreuses études fondamentales, cliniques et épidémiologiques ont montré qu'une consommation accrue en fruits et légumes, représente un facteur clé dans la réduction du risque de cancer. En effet, ces aliments contiennent une quantité importante de composés phytochimiques qui jouent un rôle crucial dans cet effet chimiopréventif. En plus des fruits et légumes, les travaux de recherche récents ont permis de montrer que d’autres aliments, peu présents dans l'alimentation occidentale, tels le thé vert, l'ail, le soya et l’épice curcuma, possèdent également une grande quantité de composés anticancéreux. Des aliments de ce type sont appelés "alicaments".



 Un régime quotidien combinant ces alicaments permet l'absorption d'une quantité de composés phytochimiques anticancéreux pouvant atteindre 1 à 2 g par jour. L’apport quotidien de ces différents aliments dans le régime alimentaire constitue un moyen simple et efficace pour contrer le développement et la progression du cancer.

 

  

 Pour voir l'article en question, ainsi que la liste des alicaments pour lesquels des propriétés anticancéreuses ont été clairement établies: nutratherapie.uqam.ca/liste_alicaments_FR.htm

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18 mars 2006 6 18 /03 /mars /2006 11:00

Les féculents sont des légumes ou fruits riches en fécule, farineux constitués d'amidon.


Les principaux féculents : pomme de terre, légumes secs, riz, maïs, pâtes, châtaignes, patates douces, bananes, manioc, ignames, pain, blé, semoule, arbre à pain, pois, soja, topinambour, etc.

Les principaux féculents : pomme de terre, légumes secs, riz, maïs, pâtes, châtaignes, patates douces, bananes, manioc, ignames, pain, blé, semoule, arbre à pain, pois, soja, topinambour, etc.


Les féculents sont riches en vitamine C et en glucides, ils contiennent une grande quantité de sucres lents, mais pauvres en protéines et en sels minéraux.
Ils apportent à l’organisme des fibres, des vitamines B, des protéines végétales et des acides aminés essentiels.


Ce sont des aliments énergétiques, ils fournissent de l'énergie à l'organisme pour éviter les coups de barre et les fringales entre les repas.
Pour une alimentation équilibrée : du pain à chaque repas et 1 portion de féculent à l'un des 2 repas principaux. En régulant l’appétit, les sucres lents évitent le grignotage. D’autre part, ils sont lentement assimilés par l’organisme et non stockés sous forme de graisse.


Les féculents ont un impact direct sur la glycémie, d’où l’importance de les surveiller de près dans les cas de diabète.


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11 mars 2006 6 11 /03 /mars /2006 09:47

Un certain nombre de producteurs bio font de la vente directe ou sont présents sur les marchés proches de chez vous. Retrouvez l'annuaire des producteurs certifiés en agriculture biologique sur l'annuaire de l'agence bio .

http://annuaire.agencebio.org/pageListe.asp,id,71D95BA1,categorie,1.rwi.html

 

 

 

 

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7 mars 2006 2 07 /03 /mars /2006 20:50

Grippe aviaire : ce qu'il faut savoir

 


Maintenant que la grippe aviaire est en France, il est important de disposer d'informations concrètes sur cette maladie afin de s'assurer de la meilleure protection possible. Voici un point complet des connaissances actuelles.




La grippe aviaire est chez nous


Un élevage de dindes décimées dans l'Ain, des cygnes et d'autres oiseaux morts un peu partout en Europe, la grippe aviaire est bien installée dans nos pays avec le retour des oiseaux migrateurs. Un chat en a même été atteint.

Cela fait maintenant trois années que ce virus circule dans le monde, en commençant par l'Asie du Sud-Est, pour toucher maintenant l'Afrique et tout le continent Eurasien. Chez les volailles, le virus H5N1 entraîne une mortalité de plus de 70%. Les canards eux, potentiellement porteurs sains, sont des propagateurs du virus, au même titre que d'autres oiseaux très probablement. D'une manière générale, tout oiseau est potentiellement porteur dès lors que le virus de la grippe aviaire a été incubé pendant 3 à 7 jours.

Une centaine de cas ont été diagnostiqués chez les hommes, avec des taux de mortalité de plus de 50%. Dans tous les cas, il s'agissait d'une contamination directe de l'animal malade à l'homme : aucun cas de contamination interhumaine n'a été rapporté à ce jour.




Ce qu’il faut faire dès maintenant

Dès maintenant, un certains nombre de règles simples doivent être appliquées. Elles sont toutes très logiques :
- éviter tout contact avec des oiseaux morts ou vivants. Dans les villes, éviter de laisser les enfants jouer avec les pigeons et les oiseaux des étangs,
- se laver les mains à l'eau et au savon avant de passer à table (bonne habitude à reprendre car elle limite bien des contagions…),
- bien cuire les volailles et les œufs.

La consommation de volaille et d'œufs est sans risque dans le circuit actuel, vu le haut niveau de surveillance qui existe déjà. De toutes façons, soyons réalistes, on trouve des œufs dans de très nombreux plats et desserts !




Le risque d’une pandémie grippale

Pour l'instant, l'épidémie ne concerne que les animaux. Cette épizootie peut ne jamais évoluer vers une forme humaine. Rappelons que ce fut déjà le cas lors de l'épidémie de Hong Kong qui a été stoppée en 1997 par l'abattage de 1,5 million de poulets.

Mais le risque existe d'une mutation du virus H5N1 vers une forme qui pourrait se transmettre d'homme à homme. Le risque de pandémie mondiale serait alors majeur. Ce fut le cas en 1917 pour la grippe espagnole qui toucha en deux ans la moitié de l'humanité avec un taux de mortalité de 2% (ce qui entraîna la mort de 30 millions de personnes…).

Si les chiffres de la grippe espagnole restent imprimés dans notre esprit, le contexte est complètement différent aujourd'hui, ce qui devrait transformer le cours des événements :
- les premiers cas seront vite repérés car le système d'alerte est très performant,
- la surveillance des élevages et des abattages est particulièrement rigoureuse,
- les limitations de circulations, l'arrêt des transports en commun, la fermeture des écoles, etc., sont déjà prévus dans le plan gouvernemental (cf. dans le département de l'Ain),
- des stocks de Tamiflu®, le médicament antiviral spécifiquement adapté à la grippe, ont été constitués,
- la France a déjà commandé 20 millions de doses du futur vaccin au laboratoire Sanofi-Aventis, leader en la matière.

Avec un tel dispositif, les conséquences d'une pandémie touchant la France devraient être limitées.




Ce qu’il faut savoir en cas de pandémie

En cas de pandémie, ce qu'il faut savoir est simple : il existe un traitement antiviral, le Tamiflu®, qui est très efficace s'il est pris le jour même des premiers symptômes et qui est encore efficace s'il est pris le lendemain. Après, c'est trop tard.

L'important c'est donc que le diagnostic soit fait rapidement et que le traitement soit délivré tout de suite. En pratique, le diagnostic se fait en deux temps : analyse des signes cliniques par un médecin qui prescrit une prise de sang à la recherche du virus. Le résultat est potentiellement connu dans les 6 heures, en tout cas dans la demi-journée.

Il est donc essentiel de connaître soi-même les symptômes de la grippe pour appeler le médecin sans attendre : les symptômes classiques de la grippe sont les suivants :
- début brutal,
- fièvre et frissons,
- toux,
- maux de gorge,
- maux de tête,
- courbatures,
- fatigue.

C'est le début brutal qui est le plus caractéristique de la grippe, d'où le nom (qui agrippe)…

Cependant, d'autres symptômes sont à connaître car les cas de grippe aviaire que l'on a observés chez l'homme ne se sont pas tous déroulés de manière classique, en dehors de la fièvre au-dessus de 38°C qui est toujours retrouvée. Des cas de diarrhées, de vomissements, de douleurs abdominales ou thoraciques et des saignements du nez et des gencives ont été relevés. Les symptômes respiratoires ne sont donc pas obligatoires au début.




Qui appeler ?

Dès lors que l'alerte sera donnée dans votre région, si vous présentez des symptômes classiques de grippe ou des symptômes intestinaux, vous devez appeler votre médecin de famille sans tarder. C'est lui qui viendra chez vous pour vous examiner et pour faire le prélèvement sanguin. En cas de difficulté à le contacter ou à obtenir un rendez-vous, vous pouvez appeler le 15 qui enverra un autre médecin.

Il est indispensable de savoir que le virus H5N1 a une incubation moyenne de 7 jours (contre 2 à 3 pour la grippe classique). Autrement dit, si votre diagnostic est confirmé, il faudra prévenir les personnes que vous serez susceptible d'avoir contaminées dans votre entourage durant les sept derniers jours.


Voilà, vous savez l'essentiel. Il ne vous reste plus qu'à vous tenir informé de l'actualité !




06/03/2006 Philippe Presles

http://www.e-sante.fr/magazine/article.asp?idarticle=9868&idrubrique=225

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